Manuel du joueur

Bienvenue sur Roncepourpre ! Que tu sois de passage ou bien perdu, voici quelques liens pour t'aider à retrouver ton chemin.
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  6. Roncepourpre
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Anno Domini MMMCCCIV.

Le monde est figé dans une longue ère glaciaire. Gagnants de la Grande Guerre, les vampires ont instauré leur propre régime : le Caliçat. Piégée par le froid et l'impôt de sang, l'humanité s'est résignée à son sort. Ou presque. Au cœur du domaine de Roncepourpre, la Rébellion est déterminée à lutter pour la liberté. 

Plongez dans un univers où pouvoir et trahison se mêlent au sang et au gel, où vos choix détermineront le destin de ce monde déchu.

  • Avril 2024
    L'heure est au recensement ! Il se clôturera le 30 Avril.
  • Mars 2024
    Les premières news de l'année vous attendent ici pour parler nouveautés et modifications !
  • Décembre 2023
    Pour une fin d'année en douceur et en bonne humeur, le marquis Lachombe vous invite à son non-anniversaire ! Retrouvez votre invitation par ici ~
  • Novembre 2023
    On fait le point depuis la réouverture par ici ! Quelques nouvelles, annonces et nouveautés.
  • Septembre 2023
    Après un peu plus d'un mois de fermeture, Roncepourpre réouvre ses portes avec un nouveau visage et un enrichissement de son lore ! Découvrez ce qui a changé en lisant l'annonce de réouverture.

La noblesse et l'aristocratie sont temporairement indisponibles ! N'hésitez pas à vous tourner vers nos prédéfinis et scénarios qui sont attendus mais également vers le bottin des métiers pour les postes manquants ~  
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Bacchus - Offrez moi votre sang, je vous dirai combien vous valez !

Bacchus di Evangelis
Bacchus di Evangelis
Vampire
Noble
Etranger

Feuille de personnage
Âge: 999 ans (34ans)
Métier: Sangmelier
Lieu d'origine: Italie / La Bastille
Lien de marque: Pas de lien à Roncepourpre
Lien de sang: Pas de lien à Roncepourpre
Bacchus - Offrez moi votre sang, je vous dirai combien vous valez ! PKBDl07
Bacchus
tell me something more

« Le sang ne ment jamais »


  • Hédoniste

  • Narcissique

  • Souriant

  • Exubérant

  • Opportuniste

  • Prudent



Nom complet
Di Evangelis Bacchus


Surnom
Le Sanglant


Race





Nationalité
Italienne


Domaine d'origine
La Bastille


Âge
999 ans (34 ans)


Métier / Activité
Sangmelier


Caste




Rang
Comte

Groupe







Morphologie

Taille :
1m85

Poids :
90kg

Yeux :
Bleu acier

Cheveux :
Blanc/gris

Tics & manies :
La plupart de tes tics sont provoqués par l’ennui ou l’envie. Lorsque tu t’ennuies, tu vas commencer à jouer avec le pommeau de ton épée si tu l’as encore ou tous objets pointus te tombant dans les mains. Si tu es en train de parler à quelqu’un, tu te désintéresse totalement de lui et ton regard se porte ce qui t’entoure jusqu’à ce que tu voies quelque chose te donnant envie. Lorsque tu as envie de quelque chose, tu le fixes la plupart du temps. Lorsqu’il y a une histoire de sang, tu te passes la langue sur tes canines. Enfin quand quelqu’un te menace, surtout quand c’est physiquement, tu te mets à glousser.

Allure générale :
Raffiné et élégant en publique, il préfère la légèreté dans le cadre privé

Si tu pouvais encore te voir dans un miroir tu dirais de toi que tu es un bel homme, ne le pouvant plus, tu dis que tu es un beau vampire. Cette réflexion, tu l’as partage en général avec les gens qui te croisent. Les proportions de ton corps le rendent très harmonieux, ta carrure seyant parfaitement à la taille que tu fais. Tes vêtements, mélange de raffinement et d’élégance sont toujours taillés pour te rendre justice et pour souligner ensemble de tes qualités. Cela te donne de la prestance lorsque tu es en public. Tu attires le regard et tu aimes cela, tu cherches même cette sensation lorsque tu es en public.

C’est cependant dans l’intimité de tes appartements privés que tu te montres sous ton meilleur jour. Si ta stature et les vêtements que tu portes attirent le regard, c’est bien que tu commences à les enlever et que tu te dévoiles que tu montres que tout cela n’est pas que poudre aux yeux. Une musculature parfaitement équilibrée, pas trop importante et parfaitement dessinée s’offre alors à la vu de la personne ayant la chance de partager ce moment avec toi le tout parfaitement accentué par ta peau plutôt blanche, douce et lisse, ne portant ni cicatrice ni tatouage. La nature ayant bien fait son travail, il serait dommage de l’altérer au risque que le résultat ne puisse être au niveau de la toile sur laquelle il serait fait.

Ce corps que tu possèdes est sublimé par un visage ayant lui aussi les bonnes proportions. La finesse de tes traits attirent inexorablement ceux qui te dévisage à croiser ton regard bleu acier envoûtant. Tout cela est surmonté par une chevelure à la couleur grise voir argentée, cadeau de la nature lors de ta transformation en vampire, dont ut aimes prendre soin. Tes cheveux sont toujours parfaitement coiffés, même quand tu arbores une chevelure faussement rebelle car tout dans ton apparence est toujours minutieusement choisie.

Tout cela, additionné à ton légendaire sourire te donne une aura flamboyante et chaleureuse. Tu inspires facilement la sympathie des humains voir même leur confiance. Cependant cela n’est valable que lorsque tu souris ou que tu es passionné car lorsque le sourire qui orne ton visage disparaît, tu deviens aussi glaciale et rude que l’air en dehors des villes. Heureusement, les gens ne connaissent que ton sourire et rare sont ceux qui peuvent dire qu’ils t’ont vu sans, car c'est à ce moment là que tu dévoiles tes années de maniement de l'épée.

Psyché

Trois qualités :
Souriant, Opportuniste, Prudent

Trois défauts :
Hédoniste, Narcissique, Exubérant

Orientation sexuelle :
Hétérosexuel (et aromantique, l'éternité c'est trop long pour les peines de cœurs)

Grande peur :
La guerre et un soulèvement des humains contre les vampires.

Votre rêve :
oir l’humanité s’épanouir de nouveau sur terre et découvrir les nouvelles saveurs que cela pourrait apporter à leur sang. Retourner sur les anciennes terres des Di Evangelis et fonder un nouveau domaine.

Il existe une citation d’un grand empereur romain qui dit que lorsque l’on fait suffisamment bien semblant de réaliser une action et cela suffisamment longtemps, il arrive un moment où nous n’avons plus besoin de faire semblant. Cette phrase à elle seule permet de comprendre qui tu es Bacchus, car il arriva un moment au cours de tes vies où tu eus besoin de faire semblant, de faire semblant de sourire. Si sourire a longtemps été ta marque de fabrique, ce qui était l’une des choses que l’on pouvait préférer chez toi, tu l’as perdu. Durant plusieurs années ton visage resta figé sans qu’aucun sourire ne l’illumine. Cependant tu te fis violence. Il te fallait te relever et tu commenças par faire réapparaître un sourire. Tu fis alors semblant durant de longues années mais le temps a passé et aujourd’hui, tu as fait suffisamment semblant pour réussir à sourire sincèrement. Cependant te faire perdre ton sourire ne signifie rien de bon, cela te renvois à la période la plus sombre de ta vie et tu n’as pas envie de la revivre.

L’une des raisons que l’on te proposa sur la raison de ton sourire illuminant ton vissage, c’est ton côté hédoniste. Tu cherches à obtenir un maximum de plaisir en faisant un minimum d’effort. Cependant certain oublie que tu cherches à faire le moins d’efforts, pas que tu ne veilles pas en faire. Tu peux déployer des effort incroyable par moment pour un résultat que certain pourrait qualifier de dérisoire alors qu’à d’autre moment, tu refuses de lever le petit doigt pour des gains potentiellement important. Ce qui est important dans cette histoire, c‘est que c’est ton plaisir qui t’importe et toi seul sait les efforts que tu consens à faire puisque c’était à toi que tu veux faire plaisir. En plus tu n’es pas difficile, tu recherches aussi bien le plaisir de la chair que celui de l’âme. Découvrir la saveur d’un nouveau sang, la recherche de l’extase avec une partenaire, celui d’écouter de la musique, de mettre les yeux sur une nouvelle œuvre et même celui de faire de nouvelles rencontres car tu le sais, c’est souvent le départ de nouveaux plaisirs.

Pour beaucoup lorsqu’on ne te connaît pas, ce côté hédoniste n’est pas une qualité. Mais tu n’en as que faire car cela fait le trie pour toi. L’on te reproche de ne chercher que ton plaisir, ce qui est fondamentalement vrai mais il t’arrive souvent d’avoir plaisir à faire plaisir aux autres et surtout à ceux que tu apprécies. On te reproches aussi de na pas être très sérieux mais au contraire, tu es très sérieux dans ta recherche du plaisir et tu ne t’occupes pas des autres sujets car tu n’y vois aucun intérêt. On te reproches d’être égoïste et de ne pense qu’à toi, mais si toi tu ne le fais pas, qui penseraient à ton bien être et ton plaisir ? Lorsque l’on te connaît cependant, tu donnes l’occasion aux personnes t’entourant sont éclaboussées par la recherche de ton plaisir et qu’ils en reçoivent aussi les fruits. Tu te concentres sur ce qui te fait plaisir et tu n’as jamais interdit personne à prendre du plaisir auprès de toi ni même à profiter de ce qui te fait plaisir mais pour eux. Aussi tu ne seras jamais contre une personne cherchant son propre plaisir surtout si le chercher ensemble permet d’en multiplier les effets. Dans le cas contraire, tu les ignores au mieux et dans les pires des cas, tu arrêtes de sourire.

Ce côté hédoniste tu le dois aussi à ton côté narcissique, a moins que ça ne soit le contraire. Tu t’aimes, c’est indéniable et dire le contraire serait un mensonge. Cependant, tu t’aimes mais tu n’as pas besoin de l’amour des autres. Tu te trouves parfait comme tu es et tu ne changerais rien. Il peut y avoir plus beau que toi, plus riche, plus intéressant et même plus savant, ils ne sont pas toi et malgré toute leurs qualités, ils leur manque toujours une chose les différenciant de toi ce qui fait que tu n’es pas jaloux car si tu t’aimes, c’est dans ton intégralité. Aussi le temps a apporté son lot de changements mais changer ce n’est pas renier son amour de soit, c’est juste apprécier le changement comme faisant partie de soit et étant toujours le résultat de tes choix, de tes expériences et de ton passé.

Ta recherche de maximisation du ton plaisir tout en minimisant les efforts que tu as à fournir pour l’obtenir et cela depuis la première fois que tu ouvris les yeux ont fait de toi quelqu’un d’opportunisme. Ce trait de ton caractère apparaît même parfois comme étant juste de la magie pour certaine personne tant tu arrives toujours à saisir les opportunités voir à te les créer. Cependant pour toi, saisir une opportunité, ce n’est pas marcher sur les autres pour obtenir ce que tu veux, c’est savoir se glisser et se contorsionner pour arriver à bon but sans que personne ne te remarque. Sauf que te faire remarquer, c’est ta spécialité car tu es quelqu’un exubérant. Paradoxe ? Non, c’est quand étant flamboyant comme tu sais l’être, tout le monde te voit mais personne ne te regarde, un peu à l’image du soleil qui éblouit les personnes le fixant. Et c’est là ta force, être capable d’attirer autant le regard des autres pour qu’ils ne regardent pas là où toi tu regardes.

Pour finir de compléter le portrait de que l’on pourrait faire de toi, il faut rajouter que tu es quelqu’un de prudent, où tout du moins qui cache son jeu. Tes expériences t’ont appris à faire attention et ce que tu trouvas de plus efficace pour surprendre les autres a toujours été de faire en sorte de garder un atout dans ton jeu tout en faisant toujours en sorte d’en avoir encore deux ou trois à sortir aux moments cruciaux. C’est un peu pour cela que tu es devenue aussi exubérant car qui penserait un instant se méfier d’une personne en faisant des caisses ? En plus de ce côté qui cache son jeu, tu as appris à décoder les gens et à être calculateur. Cependant tu n’es pas un mister mind, certains sont bien meilleurs que toi. En revanche de ton côté, tu sais faire en sorte qu’ils ne sachent jamais qui tu es vraiment.

« ronce upon a time »

Que pensez-vous de la gestion du domaine par les Roncepourpre ?
Pour toi, la gestion du domaine par les Roncepourpre est globalement bonne. Tu n’es pas d’accord avec l’ensemble des choix qu’ils ont fait et tu penses qu’en venir à un Caliçat comme à La Bastille pourrait améliorer les choses. Tu ne restes cependant pas contre leur décision tant qu’elles vont dans le sens de la paix et de la prospérité.

Et les rebelles ?
Eux par contre, tu voudrais les voir disparaître. Le Caliçat apporte des bonnes choses est les rebelles ne le voient pas. En plus qui dit rebellion dit guerre et donc mort et les mort, c’est un pas de moins vers l’épanouissement des humains et surtout, une saveur quittant définitivement ce monde.

Quel est votre but à Roncepourpre ?
Ton but à Roncepourpre est plutôt simple, tu viens t’y installer. Tu y as vu une opportunité pour découvrir de nouvelles saveurs, rencontrer de nouvelles personnes et pourquoi pas prospecter pour tes rêves ...

Chapitre 1 : Les sommeliers naissent dans les caves à vin.

Tu n’as pas de souvenirs de ta vie humaine, à l’exception deux ou trois évènements. Ce que tu sais de l’homme qui a précédé le vampire, tu le sais de ce que les autres t’ont raconté. Cette perte de mémoire ne te vient pas de ton âge, mais de ta transformation. A ton réveille en tant que vampire, l’homme que tu avais été mort et seul ton avenir t’importait alors.

Ce que tu sais sur toi-même humain n’est guère précis. Tu connais ta date de naissance étant aussi celle de ton réveille vampirique. Tu avais 34ans jours pour jours quand la soif de sang te prit. Pour ce qui était de tes parents, ils n’étaient ni pauvre ni riche et tout laisse à croire que tu étais un enfant désiré. Ils étaient des domestiques de la famille Di Evangelis, une riche famille possédant terres et propriétés dans les Alpes italiennes au nord de Gêne. Tu aurais suivi leur route si tu n’avais pas rencontré ton mentor, le Sommelier de cette famille. Son nom n’intéressera jamais personne mais c’est à lui que tu dois celui que tu es aujourd’hui. Une partie des vrais souvenirs que tu as de toi humain vient en majorité de lui.

Tu commenças ta formation de sommelier à ses côtés. Il t’apprit à conserver le vin, à le déguster et le faire déguster, à le choisir, à le servir. La famille possédait un immense trésor dans ses caves et il fallait en prendre soin, la vigne et le raisin disparaissant un peu plus chaque année face au. Peu à peu le vieil homme te laissa les clés de la cave et tu deviens le Sommelier. C’est en 2332 que tu perdis ton mentor, un hiver rude se profila et la maladie l’emporta rapidement comme tes parents.

Tu deviens le sommelier de la famille et tu fermas les yeux quant aux rumeurs sur elle. Qu’elles soient vraies ou non, tu étais incroyablement bien loti. Lorsque tu te baladais en dehors des limites du domaine, tu voyais la chance que tu avais. Puis une poche de sang par mois, ce n’était pas chère payé pour un toit sur la tête, un bon chauffage et une assiette pleine à chaque repas.

En tant que Sommelier, tu étais de tous les dîners et évènements de la famille. Tu étais celui qui montrais aux autres la richesse et puissante de la famille. Tu te mis alors à fréquenter la maîtresse des lieux, Mathilda Di Evangelis. D’une grande beauté, elle paraissait ne jamais vieillir, le temps n’avait pas de prise sur elle. De ton côté, tu te bonifias comme les vins que tu choyais. Un jour, Mathilda te trouva enfin à son goût et elle te le fit savoir au cours d’une soirée dont tu en gardes le souvenir.

Chapitre 2 : Il suffit d’une femme pour changer la destiné d’un homme.

Tu te souviens encore du parfum qu’elle dégageait au moment où tu te penchas vers elle pour lui servir le vin que tu avais choisi. Alors que tu la servais, elle prononça ces mots « Après le dîner, retrouve-moi dans ma chambre. ». Tu étais certain d’avoir halluciné. Jamais au cours du repas, elle ne s’adressa à toi autrement qu’à son sommelier. C’est donc avec le cœur battant que tu toquas à sa porte ce soir-là. Les pensées se bousculaient dans ta tête jusqu’à ce qu’elle t’invite à rentrer. A l’intérieur tu fis face à Mathilda, une tenue évocatrice mettant son corps nu en valeur. Tu fermas la porte derrière toi avant de t’approcher d’elle. Elle t’en tendit un et elle donna le ton de la soirée.

Elle fixa une règle simple, il n’y avait qu’une seule chance. Si la nuit qu’elle passait avec un amant était plaisante, elle consentait à revoir l’amant. Elle fixait les rendez-vous et rien ne devait transparaître. Contrevenir cela c’était au mieux ne jamais la revoir, au pire un motif de renvois de la famille. Tu avais bien compris la règle et tu bus ton verre après avoir trinqué avec elle. Par ce geste, tu acceptais la règle du jeu. Tu compris une chose à cet instant, cette femme devait être désirée par d’innombrable hommes. Il n’était pas question de lui sortir le numéro de Don Juan vu et revu que tu pouvais sortir avec les autres femmes que tu avais courtisées. Aujourd’hui, tu allais plus que jamais devoir répondre aux attentes de ta partenaire.

Mathilda lança les hostilités. Elle te poussa sur le lit sans que tu puisses t’y opposer. Tu te laissas faire mais tu le savais, tu n’aurais jamais pu y résister même en y mettant toutes tes forces. Tu te retrouvas rapidement nu et la danse commença entre vous. Une chorégraphie de caresses et de baisers s’exécuta. Aucun centimètre carré de peau ne fut épargné. Un tourbillon de sensation t’envahit, rendant le souvenir flou. Tous tes sens furent en éveille et tu as l’impression que jamais auparavant ils ne le furent autant. A partir de ce moment, tout n’est plus que plaisir …

Quand tu te réveillas enfin, ton corps était endolori. Tu ne savais même pas si tu t’étais évanoui endormi. Tu sentis ta partenaire contre toi, son corps était froid mais étrangement vivant. Tu ne savais s’il fait jour ou non. Aucune lumière ne filtrait et tu doutas de la présence de fenêtres derrières les lourds rideaux. Tu ramassas tes affaires et tu sortis de la chambre avant d’aller dans tes caves t’occuper de tes vins.

Après cette nuit, tu appliquas à la lettre la règle du jeu. Tu ne fis aucunement allusion à cet évènement. Tu pensas que tu n’avais pas été à la hauteur quant au hasard d’une soirée, tu vis un autre homme frappait à la porte de Mathilda. Tu te remis à fréquenter d’autres femmes quand un soir, elle te convia à la rejoindre. Tu compris deux principes découlant de la règle du jeu. Le premier, si elle choisissait le quand elle choisissait aussi le qui. Le deuxième, comme elle gardait la décision pour elle, rien ne servait d’attendre indéfiniment une sollicitation de sa part. Après cette deuxième nuit, tu fis comme si elle était une amante comme les autres. Il ne fallut qu’une dizaine de jours pour qu’elle te convoque à nouveau.

Chapitre 3 : Le lourd secret des Di Evangelis.

La vie chez les Di Evangelis était plaisante. Tu étais l’un des amants de la maîtresse de maison, mais aussi de plusieurs autres femmes, qu’elles soient de la famille, des domestiques où même vivant à l’extérieur. Tu imitas les règles de Mathilda pour tes conquêtes et tu vécus ta meilleure vie.

Cette position privilégiée auprès de femmes influentes de la famille te plongea dans ses secrets. On te demanda d’apporter du vin pour des invités très spéciaux, tu croisas des personnes sortant d’une chambre pendant que tu entrais dans une autre. Tu vis et entendus des choses qui n’aurait pas d’être. En gardant cela pour toi tu gagnas la confiance de Mathilda et elle te la communiqua d’une façon surprenante.

Cela se passa à l’arrivé de l’une des jeunes nièces de Mathilda, Georgia. Ayant les faveurs de Mathilda, tu attiras l’attention de Georgia. Admirant sa tante, elle chercha à l’imiter et à sa demande tu allas de la rejoindre. Cependant tout ne se passa pas comme prévu au cours de cette soirée. Tu avais rejoint Georgia depuis un moment. Elle appréciait tes talents d’amant et quand l’extase la gagna, tu sentis une vive douleur dans ton cou. La douleur te fit repousser Georgia qui te mordait. Tu vis ses yeux rouges et ses canines pointues. Elle voulut te mordre à nouveau mais tu fis tout pour la tenir loin de ton cou. Malgré son apparence frêle, elle avait la même force surnaturelle de sa tante.

Le raffut alerta la demeure. Tu vis Mathilda franchir la porte et se saisir de Georgia pour l’expédier à l’autre bout de la pièce. Elle avait les mêmes yeux rouges et les canines sorties et elle se tourna vers Georgia pour la menacer. Georgia se calma, se roulant en boule dans un coin de la pièce, sanglotant et s’excusant auprès de toi et de sa tante de ne pas avoir su se maîtriser.

Le calme revenu, tu fis attention à ton cou. L’entaille était profonde et le sang coula abondamment. Mathilda elle-même s’occupa de toi, comme pour s’excuser du comportement sa nièce. Elle dut aussi te révéler son secret. Elle, Georgia et le reste de la famille étaient des vampires. Mathilda avait plus de 600 ans. Georgia elle, n’avait été transformée que depuis une quinzaine de mois et les émotions fortes pouvaient déclencher la soif du sang comme maintenant. Tu ne tenus pas rigueur de l’incident à Georgia mais Mathilda la punit pour lui avoir désobéi en la renvoyant là où elle avait vécu ses quinze derniers mois pour apprendre à se contrôler. Tu fis tes adieux à la jeune vampire et tu ne l’as revis plus de ton vivant.

Pour le reste, maintenant que tu étais au courant du secret de la famille, ses membres ne te cachèrent plus leur condition. Mathilda t’impliqua même un peu plus au sein de la famille et on ne cachait plus le sang en ta présence. On te proposa d’être exempté de ta poche de sang mensuelle si tu acceptais de donner directement ton sang lors de visites nocturnes. Tu refusas dans un premier temp, le souvenir de la mesure étant vivace. Cependant faible homme que tu étais tu te laissas convaincre par les arguments de certaines de tes amantes.

Chapitre 4 : Tel le vampire qui renait de son sang.

Deux ans s’étaient écoulé depuis la nuit avec Georgia. Une grande soirée était en préparation et tu étais aux premières loges. On allait fêter les 500ans d’un des vampires de la famille. Mathilda t’avait chargé de l’organisation du repas, soit du sang pour nourrir et du vin pour le caprice.

L’organisation te pris tout ton temps. Tu délaissas même certaines de tes amantes qui se lamentèrent de ton absence et nombreuse étaient celles qui t’attendaient une fois la fête finie. Ce qui t’occupa fut la protection du secret. Il était impensable de présenter une personne par vampire pour en sucer le sang mais Mathilda voulait que cette fête soit la plus somptueuse possible. Alors plutôt qu’un sang bourré d’anticoagulant, tu voulais offrir du sang frais aux invités. Il ne te restait qu’une option, réaliser le soir même, juste avant de servir, un prélèvement de sang sur autant de personnes que de vampire présent à la soirée.

Le vin ne posa pas de problème. Le sang, c’était autre chose. Prélever du sang à autant de personnes en même temps, sans qu’aucun ne se pose de question, ce n’était pas simple, surtout quand les employés du manoir avaient déjà fourni leur poche de sang mensuelle. Tu avais pu jouer sur des dates, mais il t’en manquait toujours. Il te fallut alors trouver des excuses pour faire venir les gens et faire en sorte que tout ce monde puisse manger une fois le don fait. Cela était un ordre de Mathilda, chaque don doit toujours être accompagné d’un repas. La contrainte était alors d’éviter que tout le monde ne se croise pour ne pas faire enfler la rumeur plus que de raison.

Cette soirée-là, tu ne commenças à te calmer quand tu vis que tout le monde était bien là, invité comme donneurs. On commença par les vins de sang à la fleur de Lys papillon, afin de mettre tout le monde en appétit puis ce fut le tour du sang frais. Le don se passa à merveille et l’on commença à servir les vampires avant même que la dernière goutte ne fut récoltée. Un à un les vampires furent servis et Mathilda commença son discours. A la fin de ce dernier, chacun bu sa coupe de sang frais dans une acclamation et à entendre le son remontant de la salle, cela avait plus. Vient aussi un orchestre, des danses et autres spectacles et tu fis en sorte de faire monter de bons vins aux invités. C’est alors qu’on te fit une demande particulière et tu allas dans la cave pour y répondre. Cependant en descendant, tu découvris deux hommes dans un recoin de ta cave.

Visiblement, ils cherchaient une bouteille et ils l’avaient trouvé. Tu reconnus immédiatement le cadeau d’anniversaire prévu pour le vampire. Tu interpellas les deux hommes. Ils se retournèrent surpris. Tu sortis ton arme pour les menacer. Tu vis une fiole qu’on essaya de dissimuler, ils sortirent leur arme et tu les combattis. Ton adresse à la lame était un peu meilleure que la leur et tu réussis à couper la poche contenant la fiole et à la saisir. C’est là qu’ils te jetèrent un regard voulant dire qu’ils ne comptaient pas en rester là. Ils sortirent chacun un flacon qu’ils burent. Leur visage se tordit de douleur et l’instant d’après, tu reçus un coup de poing à te couper la respiration. Ils continuèrent et tu ne comprenais pas ce qui t’arrivait. L’instant d’avant tu avais le dessus et maintenant tu allais mourir sous leurs coups.

On venait de te projeter dans la pièce quand tu sentis la fiole près de toi. Tu l’avais lâché sous la violence des coups. Elle devait être important pour eu vu comment ils réagirent. Alors sans faire attention, tu bus le contenue de la fiole. L’un des hommes courut vers toi mais il était trop tard, tu venais d’en avaler le liquide. Presque instantanément, tu crachas du sang et les deux hommes, frustrés, te ruèrent de coups à t’en faire perdre conscience.

Avant que tu ne fermes les yeux, tu vis Mathilda entrer dans la cave. Elle avait le visage déformé par la colère. Tu réussis tout de même à entendre quelques bruits de luttes mais tu sombrais. On te saisit le menton, tu te sentais secouer et tu te demandas pourquoi on ne te laissait pas mourir tranquillement. Tu ouvris les yeux, Mathilda te fixait. Elle te posa une question et instinctivement tu dis oui. Tu fermas les yeux, tu te relâchas pour accueillir la mort.

Chapitre 5 : Bacchus Di Evangelis

C’est une soif, une insatiable soif qui te réveilla. Tu avais le souffle court, tu avais froid et tu avais soif. Une odeur arriva à tes narines et tu voulus boire cela. Tu essayas de te lever mais tu étais faible. Ton corps refusait de t’écouter et tu avais l’impression que l’on te torturait. Tes yeux voyaient de plus en plus clairement la bouteille au liquide pourpre posée devant toi.

Une porte s’ouvrit et une personne vient se mettre dans ton champ de vision. Il s’agissait d’une femme frêle. Son visage ne t’était pas inconnu mais ton esprit était incapable de se souvenir de qui il s’agissait. La seule chose que tu savais, c’est que tu la connaissais et qu’elle allait t’aider. Elle prit la bouteille, remplit une coupe du liquide et elle te la fit boire.

Tu t’étouffas à la première gorgée. Par réflexe, ton corps réagit et une fois la toux calmer, tu pus boire normalement. Tu bus lentement ta première coupe de sang et chaque gorgée te rendait un peu de force. Une fois fini, la jeune femme t’en resservit une que tu bus et elle recommença. Paradoxalement, plus tu buvais, plus tu sentais la force envahir ton corps mais plus tu avais sommeil et tu t’endormis de nouveau.

Ton second réveil fut plus calme. Tu avais soif mais tu sentis la différence. Tu te relevas sans difficulté et tu te servis toi-même une coupe de sang. L’information jaillit dans ta tête. Du sang ? Tu étais donc devenu un vampire ?! C’était donc cela la phrase de Mathilda ? Tu te mis à rire de la situation, toi qui avais refusé que l’on ne te transforme car tu n’avais pas envie de mourir et que tu ne voyais pas devenir vampire une fois vieux. Finalement la mort c’était invité et tu avais dit oui. Une fois calmé, tu attiras la coupe de sang à toi et tu la bus. Tu t’en servis une deuxième mais ce n’était pas assez, tu voulais du sang frais. Tu voulus te lever pour aller en chercher mais avant que tu n’y arrives, la porte s’ouvrit. Il s’agissait de la même jeune femme frêle qui vient s’asseoir à côté de toi. Elle mit alors un objet dans tes mains et avant qu’elle ne te dise de le boire, tu approchas à ta bouche la poche de sang. Tu y plantas les crocs et tu en bus le continue d’une seule traite.

Une fois la poche bue tu retrouvas tes forces et tu commenças à percevoir le monde extérieur. Tes sens étaient accrus et tu arrivais à entendre jusqu’aux battements des cœurs des gens. Un battement en particulier attira ton attention et il te donna de nouveau soif. Tu passas alors ta langue sur tes canines. Avant même que tu es fini la jeune femme à côté de toi t’informa que tu devrais résister à tes instincts. Elle avait prononcé cette phrase d’une voix calme mais ne laissant pas de place au doute. Tu allais devoir le faire dès maintenant et on allait s’assurer que cette leçon, tu l’apprennes tout de suite.

La jeune femme se présenta. Il s’agissait d’une vampire comme toi et elle te donna son nom, Georgia. Elle fut un peu déçue que tu ne saches plus son nom, mais incroyablement touchée que tu souviennes d’elle. Elle t’annonça la venue de Mathilda Di Evangelis, mais là encore tu ne savais pas à qui pouvait être ce nom. Tu émis l’hypothèse que c’était celle dont tu devais te souvenir aussi et Georgia acquiesça. La jeune vampire t’aida à te laver et te préparer et cette proximité fit remonter le souvenir de votre précédente soirée. Sans qu’un mot ne soit prononcé, vous reprîtes là où vous vous étiez arrêtés alors. C’est donc en plein ébat avec Georgia que Mathilda pénétra dans la chambre. Elle put constater que tu allais bien mieux mais elle émit des doutes quant à la méthode d’apprentissage.

Une fois que tu fus habillé, Mathilda prit le temps de t’expliquer ce dont tu avais besoin. Elle t’expliqua les règles que tu devrais respecter ainsi que la hiérarchie au sein des vampires. Elle te parla aussi de l’endroit où tu te trouvais, le Tombeau. C’était un lieu reculé ou les Di Evangelis et certaines familles de vampire proches envoyées les personnes transformées pour qu’elles apprennent à gérer leur soif à l’aide de vampires plus âgés. On te parla ensuite de toi et à cet instant tu décidas de changer d’identité. Tu ne te souvenais plus de ton prénom humain, tu ne te souvenais plus vraiment de qui tu étais, alors il valait mieux changer complètement. C’est à partir de ce moment-là qu’on te connut sous le nom de Bacchus Di Evangelis.

Chapitre 6 : Ce tombeau sera mon tombeau.

C’est donc au Tombeau que tu allais passer tes premiers instants en tant que vampire. L’objectif était simple, apprendre à contrôler sa soif de sang et son corps. Pour cela quoi de mieux que de la faire en compagnie d’autres vampires nouveau-nés et sous la surveillance de quelques vampires plus âgés. La vie en ce lieu était agréable. Isolé dans la forêt, il vous permettait de vous exercer convenablement tout en limitant les incidents.

Pour toi, les choses partaient mal. Tu avais mis sept mois pour te réveiller. Mathilda avait émis l’hypothèse que la fiole que tu avais bue était un poison pour les vampires et que la transformation avait été retardée à cause de cela. Les anciens vampires disaient que les vampires se réveillant tard était ceux ayant le plus de mal à se contrôler. Tu restas enfermé dans les étages inférieurs du Tombeau le temps d’ apprendre à contrôler ton corps. Ta passion humaine pour l’escrime et les séances particulières avec les femmes vampires du tombeau te permirent de le maîtriser parfaitement. On te donna donc le droit d’accéder aux étages supérieurs. A chaque étape tu devais apprendre à maîtriser un aspect de ta vie de vampire et le réussir te faisais grimper dans les étages.

Tu gravis les échelons. Tu fus plus rapide sur certain, tu pris plus de temps sur d’autres. Il ne fallut pas plus d’un an pour avoir le droit de sortir dans le parc. La suite fut plus difficile. Mathilda, frileuse à l’idée de faire sortir des vampires ne se maîtrisant pas, ne voulait pas de nouvel incident comme avec Georgia.

Durant cette période tu fis connaissance avec Georgia qui avait décidé de rester avec toi. Elle te dévoila sa tragique histoire, celle d’une fille née dans une famille pauvre. Elle dut très jeune travailler et sans qu’on lui demande son avis, on la maria à un homme violent. Un soir, après l’avoir battue pour la énième fois, il l’attacha dehors par un froid glacial. Elle fut miraculeusement trouvée par Mathilda qui lui proposa alors de vivre. Elle accepta et devient une vampire. C’était des histoires similaires pour l’ensemble des femmes vampires de la famille Di Evangelis. Maris violents, agressions sexuelles, prostituées exploitées, toutes auraient dû mourir de la main des hommes si Mathilda ne leur était pas apparue. Tu compris que si Mathilda venez en aide à autant de jeunes femmes, c’était parce qu’elle aussi avait subi les mêmes sévices.

Tu restas 18 ans au Tombeau. Avant la fin de ta troisième année Mathilda t’autorisa à rejoindre l’une de ces différentes demeures. Si tu allas les visiter, tu préféras rester un temps au Tombeau ou car un lieu très fréquenté par les vampire de la famille. Bien sûr tu ne restas pas les bras croisés et durant tes années là-bas tu t’occupas, comme on avait pu s’occuper de toi, des vampires nouveau-nés.

Tu quittas le Tombeau pour partir en voyage. Sara, une jeune vampire et ancienne esclave voulait revoir son pays. D’abord, contre, tu réussis à convaincre Mathilda de la nécessité du voyage. Elle accepta à la condition qu’elle ne parte pas seule est que les vampires l’accompagnant est la confiance de Mathilda. Tu remplissais les conditions et les arguments de Sara étant convainquant, tu partis avec, accompagné de Georgia.

Il fallut presque trois ans à votre groupe pour trouver le pays d’origine de Sara. Etant esclave, elle n’avait eu de cesse de voyager et elle ne connaissait pas son pays d’origine, qui se trouvait être la Turquie. Vous restâtes un an sur place avant de rentrer en Italie. Tu proposas cependant un léger détour pour visiter un peu le reste de l’Europe et de la Méditerranée. Ce léger détour vous pris 25 ans et vous étiez trois de plus. Mathilda fut soulagé de votre retour, mais aussi en colère et complètement désespérer par toi. Elle t’en voulut et tu mis 10 ans à te faire pardonner.

Chapitre 7 : Le Sangmelier

A ton retour de voyage, tu t’installas avec le groupe dans la demeure de Mathilda. Seule Georgia ne le fit pas et elle retourna définitivement le Tombeau. Elle avait trouvé sa vocation, s’occuper des vampires nouveau-nés. Cela ne l’empêcha pas de te rendre visite ni toi de le faire.

Ce long voyage t’avait fait découvrir de nouvelles saveurs de sang et même si tu pouvais en boire de très bon au domaine, tu ne retrouvais pas cette variété que tu avais pu découvrir. Tu repensas à tes années de sommelier. Le sang se rapprochant du vin, tu devrais bien réussir à faire quelque chose. Tu repris tes notes de voyage et tu commenças à chercher si tu pouvais modifier le goût du sang. Tu commenças avec le sang conservé avec du Lys Papillon. Ton objectif étant clair, atténuer le goût poivré qu’il avait. Il te fallut de longues années mais tu y arrivas. Tu en atténuas le goût puis tu réussis à le modifier. Cependant tu devais te contenter de faire des sangs épicés aux saveurs prononcées, le Lys Papillon t’interdisant les saveurs subtiles.

Si le lys papillon était le problème, tu t’en passerais. Tu repris tes travaux mais cette fois tu le fis sur du sang frais. Le sang frais permettait une gamme de saveur importante quand il était consommé frais, l’ajout du lys papillon gâchant les efforts de préparation. Tu te retrouvas de nouveau dans une impasse, selon l’humain donnant son sang et même parfois entre les moments où tu le prélevais, le sang avait un goût différent. L’objectif allait donc être de changer le goût du sang directement dans les veines des humains.

Tu continuas tes expériences dans ce sens et tu commenças un catalogue les plus exhaustifs possibles des facteurs changeant le goût du sang. Durant presque 400 ans, tes recherches te conduire à tester un tas d’idées. Tu testas l’effet de l’alimentation, si des maladies pouvaient changer le goût, quelle était la part de la génétique dans ce domaine ou encore si la fatigue ou les émotions influaient. Cela te donna une base de travail incroyable. Tu regardas ensuite les interactions entre différents facteurs. Tu mélangeas même les différentes méthodes en regardant comment en partant d’un sang dont tu avais travaillé le goût à la source pouvait encore plus être agrémenté par la suite.

Fort de tes connaissances, tu commenças à proposer des séances de dégustation, d’abord pour les membres de la famille Di Evangelis puis lors des repas. Tu contrôlas la nourriture des domestiques, tu fis embaucher des personnes dont le goût de leur sang apportait de nouvelles saveurs.

Ton expertise, Mathilda l’a mis à profit pour la famille. Elle monnaya tes qualités de Sangmelier et tu fis rayonner les Di Evangelis bien au-delà de la simple frontière de la ville. Cela te donna l’occasion de voyager un peu et de rencontrer du monde. Pour une personne narcissique comme toi, cela flatta ton égo. Tu profitas de l’argent pour plus développer ton activité. Tu payais des humains pour qu’ils mangent et qu’ils te fournissent du sang que tu agrémentais et conservais ensuite afin de vendre des bouteilles. Tu allas même jusqu’à faire construire un immense manoir dans le nouveau domaine de La Bastille afin d’y développer ton activité.

La famille Di Evangelis connaissait son âge d’or, jamais elle n’avait été aussi rayonnante mais cela vous attira une foule d’ennemis voulant vous voir tomber et en cette veille de l’année 2790, jamais elle ne s’était trouvée aussi proche de retourner dans l’ombre.

Chapitre 8 : Plus dure sera la chute

Le début de la guerre entre les humains et les vampires vous prit au. Bien que vous ayez eu vent des nombreuses attaques de vampires depuis des années, vous n’y aviez jamais vraiment porté attention. La relative harmonie entre humain et vampire dans les demeures de la famille vous aviez faussement fait penser que vous étiez hors de danger. Cependant, dans le chaos ambiant que déclencha la guerre, tous les ennemis de la famille cherchèrent à vous faire tomber. Vous ne comprîtes votre erreur lorsque les manoirs de la famille furent attaqués et brûlés. De plus durant cette guerre, même les vampires pouvaient être vos ennemis.

Lors des premières attaques sur la famille, tu te trouvais à La Bastille. Voyant que la région restait plutôt calme, vous y étiez tranquille. Mathilda décida de faire évacuer tout le monde là-bas ainsi qu’une partie des richesses de la famille. Tu te mis à accueillir vampire et domestique mais aussi une partie des trésors des Di Evangelis. Tu attendais avec impatience l’arrivée de Mathilda et les autres, mais tu appris alors une terrible nouvelle, le Tombeau venait d’être attaqué.

Tu te rendis immédiatement dans la demeure de Mathilda. Tu voulais en découdre. Tu ne pouvais pas rester les bras croisés et attendre, les Di Evangelis devait répliquer. Tu cherchas à convaincre Mathilda mais cette dernière ayant déjà connu la guerre ne voulait pas s’impliquer plus cela. Elle avait commis des erreurs certes, mais il fallait garder et protéger ce qui pouvait encore l’être. Tu ne suivis cependant pas ses recommandations et tu réussis à réunir quelques vampires autour de toi pour participer à cette guerre. La dissension au sein de la famille la fragilisa encore plus et vos ennemis en profitèrent. Alors que toi et ton groupe aviez quitté le domaine de Mathilda, celui-ci fut attaqué et personne n’en réchappa.

La guerre venait de te faire perdre une chose bien trop précieuse à ton goût. Ton sourire quitta tes lèvres et les derniers vampires de la famille te survirèrent. L’âme de la famille venait de s’éteindre. Tu les menas dans une quête de vengeance mais tu oublias le fait qu’un être qui se vengeance se doit de creuser deux tombes, celle de son ennemi et la sienne. La traques des responsables des attaques du Tombeau et du domaine principal coûta à la famille tous ses membres restant à l’exception de toi et tu fus le seul à rejoindre La Bastille.

Tu fermas alors les portes du manoir. Ce lieu devant être flamboyant devient lugubre et alors qu’à l’extérieur le Caliçat se mettait en place, tu te maudissais d’avoir survécu. Tu décidas de te condamner toi moi à souffrir pour te repentir des erreurs que tu avais commises.

Chapitre 9 : Une lueur d’espoir.

Il y avait 25 ans que le Caliçat avait été mis en place. Ton manoir tombait petit à petit en ruine et tu n’étais plus que l’ombre de celui que tu avais pu être. Tu errais sans but tel un spectre dans les couloirs du manoir, te nourrissant des rats, chats et oiseaux pénétrant dans ton territoire.

Un jour, alors que tu chassais un gros rat pour t’en nourrir, tu remarquas qu’il manquait des bouteilles dans l’une de tes caves à sang. Tu cherchas si tu l’avais bu mais tu n’en avais plus le souvenir. Ton esprit torturé et ton manque de force du à une sévère carence en sang devait te faire délirer. Tu étais certain que cela annonçait ta fin et tu accueillis cette idée avec joie.

Le lendemain, tu retournas dans ta cave et tu constatas la disparation de trois autres bouteilles. Tu te reposas les mêmes questions mais tu te rendis à l’évidence, un voleur était entré ici. Tu le punirais ; non pas pour le vol, mais pour le faux espoir de revoir la mort. Tu te cachas donc dans la pièce et tu attendis. La nuit tombait quand tu entendis un homme pénétrer dans la cave. Il passait par une fissure dans les murs et il prit quelques bouteilles. Tu sortis de ta cachette et tu lui bondis dessus. Ton manque de sang t’avait rendu faible et tu ne réussis pas à atteindre ton adversaire. Ce dernier se retourna alors et il brandit l’une des bouteilles de sang pour se défendre.

L’homme avait peur de toi, mais tu pouvais voir dans ses yeux qu’il était déterminé. Tu avais envie de lui faire passer le goût du vol mais tu voulais savoir pourquoi il volait. Tu lui posas la question mais il refusa de te répondre. Alors quand tu l’attaquas pour prendre position devant la faille qu’il avait utilisé et que tu lui promis qu’il pourrait sortir vivant s’il te répondait. Sa sœur avait été la victime d’un vampire transformant des personnes au hasard pour qu’ensuite ils se mettent à attaquer la population. Elle était au moins la quatrième victime de ce vampire et ses victimes précédentes avaient toutes été tuées après avoir attaqué la population. Il avait besoin du sang conservé ici pour pouvoir nourrir sa sœur et lui éviter ainsi pareil sort vu qu’il avait réussi à l’enfermer.

Tu te rappelas Mathilda et Georgia. Ce souvenir te troubla et tu t’effondras laissant le jeune homme passer avec son butin. Une fois le jeune homme parti, tu géras ton conflit intérieur. Une partie de toi voulait en finir tandis que l’autre voulait venir en aide à ce jeune homme et à sa sœur. Durant trois jours tu te battis avec toi même au point de saccager un peu plus ton manoir avant de prendre une décision. Tu descendis dans ta cave et tu t’enfilas plusieurs bouteilles de sang. Tu te revoyais lors de ton premier réveil à avoir du mal à boire et comme cette fois-là, une fois plusieurs bouteilles bues, tu t’endormis.

C’est le bruit du verre glissant de son emplacement qui te réveilla. Le jeune homme était là. Il était en train de prendre une bouteille en te surveillant quand il te vit te réveiller. Il lâcha la bouteille et il prit la fuite par la faille. Tu attrapas la bouteille avant de te saisir de lui. Le jeune homme se débattit et il te supplia de te laisser partir. Tu ne lui intimas le silence avant de lui proposer de l’aider mais pour cela sa sœur devrait venir ici. Tu lui donnas même la bouteille, car s’il n’était pas revenu depuis votre dernière rencontre, elle devait avoir extrêmement faim.

Sans même savoir si le garçon allait revenir, tu te préparas, tu repris des forces car un vampire nouveau-né était tout sauf quelque chose à prendre à la légère. Tu descendis dans les entrailles du manoir et tu nettoyas une pièce aux lourdes portes comme au Tombeau. Tu y réinstallas quelques meubles, enlevas l’ensemble des déchets au sol et tu changeas les bougies. Tu remontas et tu entendis la voix du jeune homme t’appeler depuis la cave. Tu t’y rendis et tu le découvris en compagnie d’une charmante jeune femme. Son aspect frêle te rappela Georgia et en la voyant, tu ne pouvais plus faire marche arrière, tu te devais de l’aider.

La femme s’appelait Julia, Tu l’installas dans la pièce que tu avais préparée. Tu promis à son frère, Rollon, que tu veillerais sur sa sœur. En échange il se proposa de passer un peu de temps dans le manoir pour le remettre un tant soit peu en état. Il voulait que sa sœur ait un cadre de vie acceptable et durant plusieurs semaines, il vient lui rendre visite. Il en profita pour nettoyer des pièces du manoir et faire quelques menues réparations. En parallèle de cela, tu surveillas Julia, lui apprenant à maîtriser sa soif de sang ainsi que ses nouvelles attitudes.

A l’extérieur des murs cependant, le vampire transformant de pauvres gens n’ayant rien demandé continua de sévir. En quelque mois, deux autres attaques eurent lieu. Deux innocents attaquèrent des humains avant d’être mis à mort. Par chance, tu réussis à intercepter une troisième victime. Il s’agissait là encore d’une jeune femme et tu la recueillis. Quelques jours après cette attaque évitée, Rollon découvrit une troisième jeune femme, elle ne s’était pas encore réveillée et tu la recueillis elle aussi, à la demande de la famille, qui ne se sentait pas capable de pouvoir gérer son réveil.

Devant le nombre de vampire grandissant au sein du manoir, tu dus te rendre à l’évidence, il te faudrait plus de mains. Rollon fut le premier à te rejoindre, il s’installa au manoir et il trouva même quelques humains voulant bien travailler pour toi. Le Manoir retrouva un peu de sa superbe et pendant ce temps, tu t’occupas des vampires nouveau-nées installées dans ton sous-sol. Cependant il était temps de mettre un terme à tout cela. L’agitation montait en ville et tu savais les autorités sur les nerfs.

A l’extérieur la rumeur commença à naître. Tu ne pouvais pas le nier, la récente activité à l’intérieur et le fait d’y avoir conduit trois vampires commençaient à faire parler. Pour couper court cela et ne pas être la cible des autorités, tu pris les devants. Pour la première fois en plus de vingt-cinq ans, tu sortis de chez toi et tu te rendis directement chez Ellian de la Bastille. Le nom Di Evangelis t’ouvrit les portes et tu plaidas ta cause. S’il connaissait l’affaire du vampire, il t’avoua que ton manoir était effectivement surveillé, l’activité coïncidant avec les attaques. Il te fut reconnaissant de t’occuper des vampires mais il te prévient que tu en serais responsable. Tu proposas d’héberger les prochaines victimes si leur famille le souhaitait ou si elles étaient seules, en échange de quoi tu demandais la permission pour les vampires nouveau-nés de pouvoir accéder aux cigaliers du domaine. S’il comprenait la demande, Ellian ne peut s’empêcher de te faire remarquer que depuis le temps où tu habitais à La Bastille, tu n’avais en rien contribué à la vie de la cité et qu’il pouvait sembler un peu facile d’obtenir les fruits du Caliçat ainsi.

Il te fallut argumenter auprès d’Ellian. Ce dernier se laissa finalement convaincre. Tu avais plus l’impression qu’il voulait voir si tu étais capable de t’investir pour La Bastille. L’accord était simple, les cigaliers seraient ouverts aux nouveau-nés, mais uniquement à eux et ce une fois par jour. Pour y aller ils devaient absolument être accompagné par toi et la garde. Si tu avais besoin de plus de sang, c’était à toi de te débrouiller. Cela serait ton test pour savoir si tu pouvais apporter ton aide à la cité.

Dans les semaines qui suivirent l’entretien avec Ellian, tu pus emmener les nouveau-nés aux cigaliers et la troisième vampire nouveau-née se réveilla. Bien que la garde fût présente et les nouveau-nés se sentant jugé, cette sortie au cigalier était un vrai moment de félicité pour eux. A l’extérieur du manoir, les choses s’accélèrent. Les autorités réussirent à mettre la main sur le vampire transformant des humains sans leur consentement. On découvrit d’autres victimes qui n’étaient pas encore réveillées et parmi elle tu en recueillis trois supplémentaires. L’un étant seul et les deux autres à la demande des familles qui estimaient que c’était le mieux pour eux que de venir chez toi. Ils furent conduits à ta demeure où ils furent accueillis et où ils purent une fois réveiller, apprendre tout ce qu’il y avait à apprendre de leur condition vampirique.

Chapitre 10 : Quand le sourire est là tout va.

L’affaire du Vampire Transformateur finie, le calme revient au domaine. Sur les trois victimes supplémentaires qu’on t’avait demandé de surveiller, une seule ne se réveilla pas. Tu avais donc la charge de cinq nouveau-nés, quatre femmes et un homme. Tu appliquas sur eux la méthode que tu connaissais. Tu constatas rapidement des progrès chez tes élèves. Concernant le sang, si les cigales permettaient un apport de sang frais, tu servis au nouveau-né tes bouteilles de sang que tu conservais et tu commenças aussi à en acheter. Nombreux étaient les humains acceptant de vendre un peu de sang.

Pour les cinq rescapés que tu avais recueilli tout allait bien, il en était tout autre pour toi. Si tu te levais chaque nuit, c’était pour eux et une fois qu’il serait capable de se débrouiller seul, tu envisageais de retourner à ton état d’avant. Ce fut Julia qui te fit un jour la remarque quand elle regarda l’immense portrait de toi. Sur celui-ci tu souriais et elle se demanda si c’était dû à l’imagination du peintre ou s’il avait pu le voir un jour sur ton visage. Tu fus vexé par la remarque. Elle rajouta que si tu avais un minimum de respect pour eux, tu pouvais au moins faire semblant. Tu aurais voulu lui dire ses quatre vérités et tout lui déballer mais tu devais bien reconnaître qu’elle avait raison. Ils n’avaient pas choisi d’être des vampires et si tu ne leur donnais pas un minimum d’espoir, personne ne le ferait.

Le lendemain, tu essayas de faire semblant. Cela ne fut pas probant mais l’effort fut salué. Jour après jour, te réussis à garder un sourire affiché un peu plus longtemps. Plus tu souriais, plus l’ambiance lourde s’atténuait et plus les vampires avaient le moral. Il te fallut plus d’une année pour réussir à faire semblant toute une journée, cinq ans de plus pour ne pas le perdre à la moindre contrariété, encore dix de plus tout te lever et te coucher avec le sourire et cinquante autres années pour qu’enfin cela redevienne naturel.

Pendant ce temps, les choses avaient bien changé au manoir. Les nouveau-nés étaient devenus des vampires à part entière. Ils restèrent au manoir et tous cherchèrent devenir utile aussi bien au clan qu’à la cité. Vos efforts furent récompensés quand on vous accorda définitivement l’accès aux cigaliers. De ton côté, tu cherchas comment subvenir aux besoins des vampires et du personnel. Tu ouvris ta cave et tu te mis à vendre par-ci par-là une bouteille de vin ou de sang.

Bien vite, on ta contactait avant une grande soirée pour obtenir quelques bouteilles d’exception. Ton nom fis le tour des soirées mondaines. On te proposa de faire des animations. Avoir le Grand Bacchus Di Evangelis qui vous faisait découvrir les arômes subtils d’une bouteille devient rapidement un marqueur de pouvoir et de richesse et tu sus le monnayer. Le Sangmelier venait de renaître.

Devant l’attrait de tes congénères pour tes connaissances sur le sang, tu entrepris l’écriture des principes de base de la sangmelerie. Cela allait de comment boire correctement du sang à ce qui pouvait influencer le goût en passant par des connaissances de bases comme le fait qu’un humain en bonne santé et bien nourrit donnait plus de sang et de meilleure qualité. Tu ne dévoilas pas tous tes secrets car tu n’avais pas envie de tuer ton activité dans l’œuf. Lorsque le livre sortit, les vampires se l’arrachèrent. Les vampires devinrent plus exigeants et ton art encore plus demandé.

Tu te servis de ton image comme d’un vitrine pour le clan. Ton nom étant connu, il ouvrit les portes des institutions de La Bastille pour ceux qui voulaient les rejoindre. D’autres au tempérament plus artistique utilisèrent ton nom pour se faire connaître. D’autres enfin suivirent tes traces afin de faire perdurer le fonds de commerce initial. De ton côté, tu fis en sorte de ne pas reproduire les erreurs du passé et tu investis beaucoup d’argent pour améliorer les conditions de vie des humains en faisant bâtir des logements, en leur permettant d’avoir une alimentation descente, en leur donnant du travail ou tout simplement en achetant leur sang. Tu allas même jusqu’à te servir de ton bon pour goûter le sang pour aider des médecins.

C’est dans cette ambiance que tu passas les années après ton retour aux affaires. Le clan se portait bien et tu te demandais parfois si Mathilda serait fière de toi. Chaque jour tu avais essayé de faire de ton mieux pour le clan et la Bastille et tu estimais ton bilan pas si mauvais. Tu ne regrettais cependant qu’une seule chose, ne jamais avoir su convaincre Ellian de pouvoir être un atout pour lui. Si tu soutenais en majorité, il y avait toujours un moment où pour toi il allait trop loin et où vous n’étiez pas d’accord.

La vie à La Bastille était agréable en ce début du 34ème siècle. Cependant, il y avait une sorte d’ennuis qui avait pris place en toi. Aussi quand l’occasion de s’installer à Roncepourpre se présenta, tu la saisis. Cela te ferait changer d’air, te ferait découvrir de nouvelles façons de voir les choses et surtout, cela te ferait découvrir de nouvelles saveurs. Tu achetas une belle demeure et des parcelles de terrain. Tu fis faire quelques travaux pour que l’ensemble soit plus a ton goût et une fois ces derniers finis, il fut temps de partir pour Roncepourpre.

C’est à ce moment-là que la situation à Roncepourpre se dégrada. Tu refusas un temps de t’y rendre, ne voulant pas quitter la quiétude de La Bastille. Cependant l’une des conséquences plutôt inattendu de ses évènement fut la soudaine suspicion dont firent preuve les habitants de la Bastille. Cela aurait pu en rester là mais un Noble humain avec beaucoup de relation te surpris avec sa fille. De plus son désir de devenir une vampire et le faite qu’elle mette fin à ses fiançailles ne plus pas du tout au père qui jura alors qu’il aurait ta tête. Aussi pour éviter trop de remous et de potentielles conséquence pour ta famille, tu décidas de partir pour Roncepourpres malgré tes réticences. Tu préférais largement être un inconnu dans un domaine mouvementé que celui que tout le monde regarde en mal dans un domaine paisible. Et puis bon, tu pourrais bien y faire des affaires, tu aurais peut être l’occasion de faire des rencontres intéressantes et puis pour toi c’était quoi 25 ans à attendre que la colère d’un humain envers toi ne s’arrête ?


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Bienvenue ici Bacchus fox Voilà une vie bien riche en rencontres et rebondissements ! En te souhaitant de mêmes aventures à Roncepourpre et un bon RP parmi nous ~

Pour commencer...


À présent que tu es un(e) membre du forum, tu as été ajouté(e) au groupe partisan. En tant que vampire, tu peux :
  • Recenser ta marque dans notre joli bottin ;

  • Ouvrir ton journal de liens afin de faire savoir aux autres membres quel type de relation tu recherches, et pouvoir suivre la chronologie de tes futurs RP ;
  • Jeter un oeil aux demandes de rp ou ouvrir la tienne pour te lancer dans le grand bain ;
  • Nous rejoindre sur Discord si ce n'est pas encore fait. ~


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Nous avons besoin de savoir le niveau d'implication que tu souhaites avoir dans l'intrigueen remplissant un petit formulaire!

Mais aussi,comme nous limitons les listes de recensement,veilleàremplir ton profil et ta feuille de personnage.

Amuses-toi bien parmi nous,
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