A mi-chemin entre le Bourbier et le Manoir, accessible par les routes ou par le train qui y bénéficie d’un arrêt, les Roncepourpre ont élevé l’endroit pour y accueillir les âmes les plus défavorisées de leurs terres. Sous la gestion bienveillante de quelques habitants du Bourbier comme de Ronces volontaires (mais sélectionnés avec attention), garçons et filles y sont choyés et éduqués de leur naissance jusqu’à leur majorité. Au décours de celle-ci, les jeunes hommes seront conduits au Manoir afin d’y entamer leur Caliçat en vertu de la politique du domaine, et en contre-partie des soins prodigués.

Bâti sur un schéma on ne peut plus classique entre dortoir et cantine, on peut également relever la présence de chambres assignées aux Ronces et autres employés afin de permettre une présence constante pour les enfants. Des équipes se relaient tous les trois jours pour économiser les ressources nécessaires au transit. Aussi, une salle dédiée aux gardes qui assurent les voyages et la surveillance des Ronces comme des pupilles du domaine.

Des humains et des vampires, Ronces et habitants du Bourbier.
Directeur, nourrices, surveillants, instituteur, infirmier.

Entre l’église et l’orphelinat, c’est la volonté d’Aldric de Roncepourpre qui s’est étendue jusqu’ici. Alors que les premières heures d’enseignement voyaient le jour au sein du manoir, les dernières briques étaient posées au coeur même de la ville. L'établissement est donc récent. Un enseignement d’un niveau primaire afin de permettre à chaque habitant du Bourbier de posséder quelques rudiments comme la lecture, l’écriture, le calcul et des bases historiques. Tout un programme évidemment choisi, étudié et surveillé par Aldric de Roncepourpre et Orphée, en accord avec la politique du domaine tout comme la petite bibliothèque mise à disposition.

Des humains de tout âge.
Des vampires, des humains habitant le Bourbier.
Directeur, instituteurs.

Etabli au sein du Bourbier, votre seigneurie a fait travailler ses architectes et ingénieurs les plus qualifiés pour amener ce coin de bien-être aux pauvres hères de la ville. Comme nul ne peut jouir d’un accès direct à l’eau courante, et pour veiller à la gestion sanitaire, ces bains ont vu le jour en se voulant accessible à tous. De grands bains publics non-mixtes chauffés de jour comme de nuit sont abordables pour quelques menues pièces. Des espaces privatifs plus onéreux pour qui peut se le permettre. Ces lieux ne se veulent pas uniquement dédié à l’hygiène cependant ; géré par un apothicaire, celui-ci veille à prodiguer également des bains curatifs, massages thérapeutiques et d’autres soins adaptés à vos besoins.

Des vampires, des humains habitant le Bourbier.
Apothicaire, employés divers (réception, maintenance), masseurs.