Manuel du joueur

Bienvenue sur Roncepourpre ! Que tu sois de passage ou bien perdu, voici quelques liens pour t'aider à retrouver ton chemin.
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Anno Domini MMMCCCIV.

Le monde est figé dans une longue ère glaciaire. Gagnants de la Grande Guerre, les vampires ont instauré leur propre régime : le Caliçat. Piégée par le froid et l'impôt de sang, l'humanité s'est résignée à son sort. Ou presque. Au cœur du domaine de Roncepourpre, la Rébellion est déterminée à lutter pour la liberté. 

Plongez dans un univers où pouvoir et trahison se mêlent au sang et au gel, où vos choix détermineront le destin de ce monde déchu.

  • Avril 2024
    L'heure est au recensement ! Il se clôturera le 30 Avril.
  • Mars 2024
    Les premières news de l'année vous attendent ici pour parler nouveautés et modifications !
  • Décembre 2023
    Pour une fin d'année en douceur et en bonne humeur, le marquis Lachombe vous invite à son non-anniversaire ! Retrouvez votre invitation par ici ~
  • Novembre 2023
    On fait le point depuis la réouverture par ici ! Quelques nouvelles, annonces et nouveautés.
  • Septembre 2023
    Après un peu plus d'un mois de fermeture, Roncepourpre réouvre ses portes avec un nouveau visage et un enrichissement de son lore ! Découvrez ce qui a changé en lisant l'annonce de réouverture.

La noblesse et l'aristocratie sont temporairement indisponibles ! N'hésitez pas à vous tourner vers nos prédéfinis et scénarios qui sont attendus mais également vers le bottin des métiers pour les postes manquants ~  
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Période RP
Août 3304
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Apollinaire De Rosenthal — Tragédie Vaine

Apollinaire De Rosenthal
Apollinaire De Rosenthal
Vampire
Ordre des Muses
Noble

Feuille de personnage
Âge: 304 ans
Métier: Professeur d'Histoire de l'Art
Lieu d'origine: La Bastille
Lien de marque:
Lien de sang: Honoré Bellerose — son créateur
Apollinaire De Rosenthal — Tragédie Vaine 1703124077-cabanel-l-ange-dechu
Apollinaire
tell me something more

« My heart is so full of you. I can hardly call it my own.»


  • Romantique

  • Conciliant

  • Affable

  • Authentique



Nom complet
De Rosenthal Apollinaire


Surnom
Rosie


Race





Nationalité
Française


Domaine d'origine
La Bastille


Âge
304 ans


Métier / Activité
Professeur en Histoire de l'Art


Caste





Rang



Rang
Baron

Groupe







Morphologie

Taille :
1,86m

Poids :
80kg

Yeux :
Bleu de prusse

Cheveux :
Blond

Tics & manies :
Apollinaire arbore une bague à l'index, parée d'un délicat rubis, qu'il fait virevolter autour de sa phalange à chaque frémissement de nervosité.

Allure générale :


Apollinaire incarne l'empreinte d'une souffrance à laquelle il s'est familiarisé autant qu'elle lui échappe ; les nombreuses cicatrices qui serpentent son corps ne semblent pas l'accabler autant qu'il choisit de ne pas les évoquer. Ses yeux, aux contours légèrement courbés vers l'intérieur, insufflent l'illusion qu'il pleure sans jamais répandre de larme ; ses yeux d'un bleu cristallin vous sondent sans jamais donner l’illusion d'un regard insistant. Il aspire à vous comprendre, à vous parler, à exprimer par son regard toute l'intensité d'un message qui, par sa propre éloquence, surpasse tout discours vain. Sa peau lisse, semblable à de la porcelaine, laiteuse et marbrée par d'innombrables stigmates, témoigne cependant d'un soin évident. Dans sa pensée tout comme dans son allure, Apollinaire incarne une âme humble. Il se tient droit, ne module jamais sa voix plus haut que nécessaire, et ses yeux vous accompagnent avec bienveillance. Ses zygomatiques restent sobrement sollicités, mais lorsqu'un sourire éclaire son visage, il rayonne d'une lueur aussi douce que celle du soleil ; une fossette creuse délicatement sa joue droite lorsqu'il vous gratifie d’un sourire. Ses cheveux dévalent en une feinte cascade désordonnée sur son visage, d'une blondeur à la fois douce et radieuse, reflétant tantôt une lueur rousse, tantôt une teinte châtain au gré des jours. Quelques mèches blanches tissent leur chemin à travers ce champ de blé capillaire, témoin d'un stress antérieur à sa transformation. Son style vestimentaire est le reflet de l'homme qu'il incarne ; majoritairement sobre, mais émaillé de couleurs curieuses lorsque l'envie lui prend d'exprimer une certaine extravagance. A cela, s’ajoute une fragrance qui rappelle celui du chèvrefeuille à chaque caresse de sa présence.
N'ayant aucun souvenir de son existence antérieure en tant qu'humain, Apollinaire perçoit sa naissance comme le jour où il a été métamorphosé en vampire.

Psyché

Trois qualités :
Accessible —  Sensible —  Bienveillant

Trois défauts :
"People-pleaser" — Laconique — Morose

Orientation sexuelle :
Quant à son orientation sexuelle, Apollinaire semble la considérer avec une indifférence marquée, bien qu'à certains instants, il témoigne d'un intérêt envers les hommes.

Grande peur :
Il se peut qu'Apollinaire ait déjà affronté sa plus grande peur : celle de ne pas être reconnu par son créateur. Chaque fois qu'il croise ce dernier le plonge dans un malaise ineffable, comprimant son cœur et embrasant son estomac, accablé par la douloureuse sensation d'être invisible.

Votre rêve :
Apollinaire aspire à conférer à l'Art et à son histoire une reconnaissance à la hauteur de leur importance dans le tissu même de l'humanité. Ils représentent la transmission d'un langage universel, une source de sensibilité à laquelle tout un chacun peut s'éveiller. Parallèlement, il nourrit le désir de s'établir en tant qu'artiste émérite, particulièrement dans le domaine du portrait.

Sa voix, douce comme un fil de soie, vous transporte vers des horizons imprégnés de subtil charme. Apollinaire, discret de parole mais jamais avare de sens, se révèle aimable, affable, et généreux. Son âme d'artiste, tissant en lui une sensibilité éprise envers les œuvres artistiques, peu importe leur nature, s'étend également aux états d'âme d'autrui. Jamais avare de peindre, de composer ou d'écrire, il se laisse guider par chaque nouvelle âme qui lui insuffle l'inspiration de nouvelles créations. Si Apollinaire conserve une aura de mystère, sa nature laconique fait de lui un confident exceptionnel ; il offre une oreille attentive sans la moindre hésitation. Néanmoins, il se trouve dans l'incapacité de restituer la confidence que vous lui octroyez, doté une verve peu prolixe et d’une nature secrète par moment intimidante.  Comme s'il rejetait l'idée de vous dévoiler des vérités, fussent-elles des plus évidentes. Toutefois, la mélancolie qu’Apollinaire exhale peut parfois susciter un sentiment de malaise, comme si le temps suspendait son vol et que l'atmosphère se teintait soudainement de morosité. Cette amabilité douçâtre découle par moments d'une volonté de charmer autrui plutôt que de procurer un plaisir sincère, comme s'il émanait de lui une nuance de malhonnêteté ou d'une franchise feinte.

« ronce upon a time »

Que pensez-vous de la gestion du domaine par les Roncepourpre ?
La gestion du domaine se révèle globalement satisfaisante, toutefois, une amélioration demeure envisageable. L'entente fragile entre les êtres humains et les vampires persiste, mais ma foi en notre Seigneur reste inaltérée. À mes yeux, le Caliçat représente le compromis le plus judicieux depuis la Grande Guerre. Il ne subsiste qu'une question de temps pour que les relations entre ces deux espèces s'embellissent, tout comme la politique du domaine tend à s'améliorer.

Et les rebelles ?
J'imagine que la révolte des humains était inéluctable. Je ne les blâme pas, car ils en ont besoin, et je suis disposé à croire qu'une situation inverse aurait engendré une réaction similaire. Je ressens une certaine culpabilité de ne pouvoir leur porter assistance et regrette qu'ils ne puissent trouver aucune satisfaction.

Quel est votre but à Roncepourpre ?
Si l'essence première de mon séjour à Roncepourpre résidait dans la quête incessante de retrouver Honoré, mon Créateur, une aspiration qui demeure vive en moi, aujourd'hui, mes desseins se transforment en une mission dévouée à perpétuer mon enseignement au sein de l'université. Mon vœu ardent est d'insuffler chez autrui une passion indéfectible pour l'histoire de l'art, de les inciter à cultiver une sensibilité plus profonde envers le monde qui nous entoure, et de les encourager à s'immerger dans l'art, que ce soit à travers la peinture ou simplement le dessin.




18 mars de l’année 3000
La nuit s'étend dans une quiétude aussi rassurante que troublante ; le firmament, ordinairement voilé et menaçant d'un blizzard prosaïque, revêt l'inattendu d'une voûte céleste constellée. Ses yeux s'élèvent vers les hauteurs, témoignant d'une nostalgie manifeste pour l'éclat éphémère de souvenirs si lointains qu'ils semblent n'être que prêtés. Une brise douce effleure sa joue, telle l'embrassade froide et humide de la Mort ; son contact glacial et apaisant réchauffe son cœur d'une quiétude lénifiante. Familière, elle se présente comme un effleurement dans les ultimes soubresauts de sa vitalité. Assis au pied d'un arbre, son corps à peine couvert, sinon par la mince pellicule de neige qui, sous la chaleur naturelle de son être, fond lentement, il médite une dernière fois sur le souvenir d’un futur qui ne lui appartient pas. Le repos, longtemps différé après des années de souffrance, s'apprête à lui être concédé. Il ferme doucement les paupières, et dans un dernier souffle évanescent, il s'éteint.

***

23 mars de l’année 3000
Le souffle inattendu de la non-vie s'engouffre en lui avec une force si impétueuse qu'il goûte à l'évasion d'une noyade. Ses poumons, superflus dans cette résurrection, se gorgent d'air, emplissant son être d'une essence dont il n'a plus l'usage. Son cœur, pulsant avec une intensité poignante, teinte chaque battement d'une douleur persistante. Pourtant, ce n'est plus la vie qui irrigue ses veines, mais les prémices d'une immortalité inopinée qui ravive son âme avec la brutalité déchirante de la vampirisation. Tel un nouveau-né, il s'efforce d'aspirer l'air, de respirer avec une intensité dévorante, et il pleure à chaudes larmes, comme si sa résurgence était marquée par une douleur indicible, inénarrable, surpassant tout ce qu'il a pu vivre de son vivant. Dans une première étreinte avec cette nouvelle existence, les derniers instants de sa première vie, tout comme les événements qui l'ont précédée, semblent lui échapper. Cependant, une sensation impérieuse émerge : la faim, une faim dévorante qui le tenaille d'une manière implacable. Son être tout entier s'embrase, dévoré par la voracité de sa faim, par la négation même de son existence. Il n'est point esseulé dans cette détresse, mais l'avidité le rend aveugle à toute lucidité. Au sein de ce dénuement, le fil rouge indicible qui le maintien dans une existence dont l'essence lui échappe persiste, ancré dans sa psyché, lui évoquant un souvenir lointain qu'il peine à reconnaître. Un parfum familier de son ancienne vie s'insinue à nouveau, tout en lui échappant. Des souvenirs qui ne lui appartiennent pas se mêlent, s'entrelacent, et forment un réseau complexe que son esprit peine à démêler distinctement.
Les premières perles de sang caressent son palais, s'entrelaçant avec les papilles de sa langue, et lui murmurent à quel point la vie est précieuse et combien il désire la préserver. Son propre nom lui échappe, les origines de son être s'évanouissent dans l'oubli, mais la douleur qui l'accable déploie une éloquence qui surpasse le récit de toute son existence. Pourquoi devait-il renaître, alors que tout ce qui subsiste en lui n'est que l'empreinte d'une douleur qu'il peine à exhumer des dédales de sa mémoire ? Si le bien ne lui avait jamais été destiné, il s'appliquerait à répandre le bien autour de lui, une quête qui exigerait la reconstruction de cette nouvelle existence qui lui incombait désormais.

***

De l’an 3000 à l’an 3084.

Apollinaire, tel sera ton nom, et tu porteras le mien.

Il n'est pas son créateur, mais revêt une semblance. Nazaire de Rosenthal est celui qui le découvrit alors qu'Apollinaire gisait dans la neige, à la croisée entre l'existence et le néant. La décision de Nazaire de le ramener avec lui fut motivée par les stigmates de la vampirisation gravés sur Apollinaire, le persuadant de sa capacité à survivre. Abandonner un nouveau-né dans la neige est d'une gravité abyssal. Nazaire, vampire peut-être familier de cinq existences antérieures, démontre une patience infinie envers le jeune vampire, accompagnée d'une sagesse admirable. Les états d'âme des nouveau-nés vampires fluctuent avec une complexité aussi imprévisible que le hasard. Apollinaire manifeste une certaine difficulté à se conformer à sa nouvelle existence, à l'instar de tout jeune vampire ; Nazaire veille sur lui avec une sollicitude digne d'un créateur envers sa progéniture. Cependant, Apollinaire ne semble pas recouvrer les souvenirs de son existence en tant qu'humain. Les seuls indices susceptibles de les guider sont les cicatrices qui ornent son corps ; des sillons rouges cernent ses poignets et ses chevilles, des marques de morsures mal cicatrisées, des cicatrices de couteau ou de fouet s'entrelacent en un amalgame difforme sur son dos. Tout porte à croire qu’il avait été séquestré. Les détails de ces conjectures le perturbent, et Apollinaire refuse de creuser davantage dans des souvenirs qu'il préfère ne pas raviver.
Membre de l’Ordre des Muses, Nazaire éclaire l'esprit d'Apollinaire ; il lui dispense les savoirs de la littérature, de l'histoire, de la politique, mais ce qui captive l'âme du jeune vampire, c'est l'épopée de l'art. Nazaire n'est pas un érudit émérite en histoire de l'art, mais il lui transmet les connaissances élémentaires de ce domaine. Apollinaire entreprend lui-même des recherches assidues et se plonge dans une multitude de livres sur le sujet. Cependant, la lacune du jeune vampire réside dans sa propension à demeurer cloîtré. Il s'abstient de sortir et entretient des interactions sociales limitées, sinon avec Nazaire. Se tient également la question de l'identité de son créateur et de son absence insondable. Nazaire s'engage dans des recherches prolongées et assidues qui, hélas, s’avèrent infructueuses.

***

De l’an 3084 à l’an 3199.
Après de nombreuses années consacrées à la réhabilitation sociale, Nazaire réussit à persuader Apollinaire de rejoindre l'Ordre des Muses, lui offrant ainsi l'opportunité d'entreprendre des études susceptibles de renforcer son indépendance. Conjointement à son intégration à l'Ordre des Muses, Apollinaire se substitue à Nazaire dans les investigations sur son créateur. Le lien indicible qui les unit altère profondément Apollinaire. Alors qu'il achève son parcours d'études à Bastilles, ses recherches concernant l'identité secrète de son créateur le conduisent jusqu'à Roncepourpre. Ainsi, il parvient à conquérir son indépendance ; il salue une dernière fois Nazaire sans lui dire adieu et se dirige vers Roncepourpre. Apollinaire n'a jamais quitté le domaine de Bastille, et faire face au changement suscite autant d'angoisse que d'appréhension. Il se prépare à rencontrer son créateur, celui qui l'a sauvé de la mort et lui a fait oublier les tourments d'une vie révolue, désormais dénuée de sens.

***

Le 22 mai de l’an 3255.
Porté par le fil rouge qui les lie, Apollinaire traverse les contrées de Roncepourpre jusqu'à la Cité. L'essence de son créateur enveloppe chaque recoin de ces lieux. Bien qu'initialement venu à la quête de cet homme, Apollinaire opte pour une résidence pérenne. Leurs destins se mêlent enfin une nuit, lorsque, Apollinaire, captivé par l'apparition de celui qu'il suppose être son créateur, échange un regard avec lui. Une reconnaissance mutuelle s'établit. Ils se reconnaissent. L’un, embrasé par une exaltation magnifique et porté par un amour absolu envers son créateur, voit le monde s'immobiliser autour de lui, se consacrant exclusivement au visage qu'il avait inlassablement contemplé dans ses songes, sans jamais parvenir à en saisir pleinement la structure. L'autre, submergé par une anxiété grandissante et une fureur silencieuse, contemple en Apollinaire une fontaine d'ennuis qu'il n'avait point envisagée depuis l’égarement fatale que fut celle de l’avoir transformé. Apollinaire s'avance vers son créateur avec hâte, les mains tendues telles des supplications muettes, comme s'il sollicitait une accolade rédemptrice, telle que deux âmes affines pourraient se prodiguer après une séparation aussi longue qu'agonisante. Cependant, l'homme en question ne semble guère s'accorder aux émotions d'Apollinaire, le discernant telle une frêle progéniture, à peine familière avec l'art de cheminer, chancelant dans sa direction avec une grâce, osons le dire, discutable.

Oser revenir, alors que j'ai commis l’impair de te créer ! Retourne d’où tu viens, et que désormais, n'altère plus la sérénité de mon existence de ton retour perturbateur !

À ces paroles s'agrège l'infamante morsure au cou infligée par un semblable. Apollinaire, qui avait toujours voué une sincère considération envers son créateur, se découvre désormais renié, tel un rejeton dont ce dernier n'avait jamais eu l'intention de donner vie. Il l'assaillit de sa morsure, au même endroit qu'à l'époque de cette nuit où il avait exhalé son ultime soupir. Le sens de cet acte demeure obscur ; à travers cet homme, Apollinaire ne perçoit que du mépris et une froide insouciance. Cette morsure, plus opiniâtre que ses semblables, refuse de s'effacer, contraignant Apollinaire à dissimuler sans relâche son cou sous l'égide d'un vêtement ou d'un bandage, suscitant immanquablement la méfiance. C'est peut-être là le seul stigmate qui le plonge dans la honte.

***

De l’an 3255 à l’an 3304.
Enlisé par la honte à l'égard de son créateur, Apollinaire se confine à Roncepourpre, préservant avec ferveur une correspondance épistolaire avec Nazaire, sans jamais dévoiler les tenants de l'intrigue. Il persiste à le maintenir dans l'illusion d'un Apollinaire demeurant, en apparence, sans nouvelle.
Apollinaire s'inscrit dans le prestigieux corps professoral de l'Université de la cité de Roncepourpre, assumant la fonction éminente de professeur d'histoire de l'art, rôle qu'il continue de remplir de nos jours avec distinction. En façade, Apollinaire évolue dans le quotidien, enseignant avec la passion qui embrase son être, tout en se dédiant à l'exploration de vieilles œuvres d'une ère révolue. Son expertise s'oriente résolument vers la Grèce antique, où les pièces artistiques se font rares, la plupart ayant succombé à l'oubli ou à l'érosion du temps. Honoré Bellerose. Le nom qui façonne son créateur. Apollinaire ne retient de lui que l'évidence prosaïque dans l'écrin de la Cité. Il exerce en qualité de médecin. Cependant, l'amertume de le croiser lors de ses errances dans la Cité le submerge d'une peine indicible. Celui-ci demeure résolu à esquiver toute rencontre, et l'ignorance qu'il exhibe envers Apollinaire devient plus intolérable que la vile morsure qu'il lui avait autrefois infligée.  il n'est guère rare qu'Apollinaire trace des portraits de cette figure, écrive des poèmes en son honneur, ou compose lorsqu'elle se présente dans les lueurs oniriques de son esprit.

***

Juillet 3304.
De nos jours, Apollinaire réside à Roncepourpre en qualité de professeur éminent au sein de l'université. En parallèle de ses enseignements et de ses recherches, il dispense des cours particuliers artistiques, explorant les nuances de la peinture (huiles, aquarelles, etc.), de la sculpture à l'argile, et du dessin traditionnel. Il offre également la possibilité de lui confier des commandes artistiques, privilégiant souvent les portraits. Sa réputation repose sur la diversité de ses techniques, bien que son cœur d'artiste s'épanouisse avec une passion dédiée dans les styles de la peinture baroque et de la Renaissance.




Entre nous



Pseudos :
Arocle

D'où tu nous viens :
Refonte de DC

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Vous voulez nous partager quelque chose ? En espérant que ce nouveau DC porte ses fruits.

Ton avatar :
OC sans nom (@IZE_STAGE) — Apollinaire De Rosenthal
Maître du Jeu
Maître du Jeu
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Humain
Tu es validé(e)!


Rebienvenue Apollinaire fox Que de douceur qui émane de lui ~ Filez donc professeur, et bon RP !

Pour commencer...


À présent que tu es un(e) membre du forum, tu as été ajouté(e) au groupe partisan. En tant que vampire, tu peux :
  • Recenser ta marque dans notre joli bottin ;

  • Ouvrir ton journal de liens afin de faire savoir aux autres membres quel type de relation tu recherches, et pouvoir suivre la chronologie de tes futurs RP ;
  • Jeter un oeil aux demandes de rp ou ouvrir la tienne pour te lancer dans le grand bain ;
  • Nous rejoindre sur Discord si ce n'est pas encore fait. ~


OBLIGATOIRE


Nous avons besoin de savoir le niveau d'implication que tu souhaites avoir dans l'intrigueen remplissant un petit formulaire!

Mais aussi, comme nous limitons les listes de recensement,veille à remplir ton profil et ta feuille de personnage.

Amuses-toi bien parmi nous,
Le Staff.